Une chambre, une maison offrent un cadre d’existence et son aménagement nous reflète. Chaque poème de Sarah Vogler est une pièce dans un monde imaginaire. Est-on vraiment à l’étroit ici alors même que les baleines entrent dans le congélateur ? Que retient la poussière au juste ? Est-elle la mémoire de notre séjour ? Comment les habitants cohabitent-ils avec leurs différences et blessures ? À la fin, on nous offre souvent une voie de sortie : une fenêtre ou un trou dans la clôture où nous glissons au dehors.