Spaghetti-bona-fide

Il vaut toujours mieux parler cuisine italienne que se disputer politique italienne : un dernier week-end Cinq Etoiles ensemble en bord de mer avant de sceller le destin du Sénat italien…
Vitello tonnato. Panna cotta. Arancini. Agnolotti. Pizze. La meneuse d’un parti politique, progressiste mais dans le placard. Panettone. Cassata. Muffuletta. Risotto. Cantuccio. Parmigiano. Pasta. Pignata. Caffè Bialetti. Sa compagne cachée, influenceuse plantureuse à la Berlusconi. Foccaccia. Tiramisu. Osso buco alla Milanese. Tartufo nero dell’Umbria. Cannoli. Lasagna. Pesto genovese. Un bras droit dévoué mais indésirable. Tortellini. Minestrone. Crostata. Cantuccini. Fiorentina. Fritto misto. Et la figure de proue de l’extrême droite nationaliste. Semifreddo. Porchetta. Arrosticini. Vignarola. Agnello al forno. Sont enfermées dans une maison en bord de mer. Mortadella. Canederli. Fagiolini. Stracciatella. Tagliatelle. Polpette al sugo. Spezzatino. Saltimbocca alla romana. Mais personne ne tombe à l’eau…
Le jeune auteur suisse-allemand Matteo Emilio Baldi serait presque capable de nous apprendre à réussir les pâtes aux oursins tout en déroulant un thriller comique entre politique italienne et Moka Express ! Dorothée Thébert et Filippo Filliger relèvent le défi et cuisinent des pâtes, montent une pièce et ganachent la politique italienne.